Le marketing, cet agent infiltré

L’explosion des services numériques B2B a modifié le paysage du côté des éditeurs. Une nouvelle application financée par une levée de fonds peut voir le jour en quelques mois. Le professionnel a désormais le choix lorsqu’il souhaite s’abonner à un nouveau service. Il faut donc se démarquer de la concurrence, d’une manière ou d’une autre, pour être préféré et idéalement choisi. La phase d’avant-vente peut commencer, chacun avançant ses promesses, ses argumentaires et ses bénéfices. Cet exercice de séduction ne doit pas pour autant se manifester par des excès de fièvre marketing dans l’application elle-même.

La tentation est souvent là, celle de donner une allure plus « vendeuse » aux fonctionnalités. Qu’il s’agisse de la mise en forme graphique ou bien même de leurs dénominations. La crainte, peut-être, que le prospect ne perçoive pas le service à sa juste valeur, qu’il ne soit pas séduit dès la première connexion.

À utiliser de préférence au lever du jour

Le marketing du service ne doit pas altérer l’usage. Même si l’application reste un point de contact plein d’opportunités entre l’éditeur et le client, il est préférable de ne pas surcharger l’expérience par des formules sophistiquées, anglicisées, trop éloignées du contexte et de la réalité de l’utilisateur.

Sommaire

  1. Réussir (enfin) à intégrer ses utilisateurs dans le processus de conception

  2. Résister à la tentation de l’application multi-fonctions

  3. Le marketing, cet agent infiltré

  4. Améliorer le dialogue entre l’application et l’utilisateur

Article créé le . Modifié le .